Michèle a écrit:Pour l'adaptation des plantes j'espère que tu as raison. Ça dépend de ce qu'on appelle "adaptation" mais par exemple au niveau des arbres, les hêtres et mélèzes sont voués à ne subsisterque dans certaines zones restreintes de France. D'autres espèces prendront leur place mais pour eux c'est très mal parti
La raison : le changement est trop rapide pour qu'ils puissent s'y adapter.
La nature ayant horreur du vide (sauf dans les désert et sur les glaciers, quoi que...) d'autres espèces viendront les remplacer, y a qu'à jardiner pour s'en rendre compte.
Mais outre le réchauffement lui-même, il y a aussi tous les invasifs (insectes et "bactéries") qui vont changer le paysage.
Mais ce n'est pas nouveau :
- ado je me souviens du canal de la Marne qui a vu tous ses arbres abattus pour endiguer la prolifération d'un champignon
- au Québec, certaines rues de Montréal, se sont vues "mises à nues", cette fois-ci pour un insecte importé d'Asie
Ce ne sont que 2 exemples parmi tant d'autres mais que j'ai observé directement.
Je ne suis pas pessimiste pour la nature loin de là mais en France, certaines zones souffriront plus que d'autres... avant de retrouver un équilibre.
La variable de cette équation est le facteur humain (bien au delà du simple fait de rouler en véhicule thermique

)